Gérard GREGETC'est vrai, je me souviens des bateaux à vapeur que l'on allait faire voguer dans des roselières du côté des ballastières. Même que pour avoir la coquille j'avais demandé à mon père de gober l'oeuf, vu que moi, bof
Gérard GREGETOn allait chercher le pain à la petite épicerie tenue par madame Gillet en face du Collège, elle nous rendait souvent la monnaie en caramels à 1 centime. Pour cela il fallait donc traverser la route, sans surveillance bien sûr, chose inconcevable de nos jours.
Gérard GREGETC'est vrai que ce sont de bons souvenirs, en tout cas pour moi. En sixième on était une cinquantaine et on a tenu un trimestre dans une seule classe avant que ce soit dédoublé. Je me souviens aussi de la rivalité entre "les Plancher les Mines" (comme disait Coppey, le dirlo) volontiers turbulents et indisciplinés (et auxquels ceux de Plancher-Bas comme moi se rattachaient), et ceux de Ronchamp, mieux vus car sans doute plus dociles. Une rivalité surtout sur le terrain de foot, d'ailleurs.
Gérard GREGET C'est vrai, je me souviens des bateaux à vapeur que l'on allait faire voguer dans des roselières du côté des ballastières. Même que pour avoir la coquille j'avais demandé à mon père de gober l'oeuf, vu que moi, bof
Gérard GREGET On allait chercher le pain à la petite épicerie tenue par madame Gillet en face du Collège, elle nous rendait souvent la monnaie en caramels à 1 centime. Pour cela il fallait donc traverser la route, sans surveillance bien sûr, chose inconcevable de nos jours.
Gérard GREGET C'est vrai que ce sont de bons souvenirs, en tout cas pour moi. En sixième on était une cinquantaine et on a tenu un trimestre dans une seule classe avant que ce soit dédoublé. Je me souviens aussi de la rivalité entre "les Plancher les Mines" (comme disait Coppey, le dirlo) volontiers turbulents et indisciplinés (et auxquels ceux de Plancher-Bas comme moi se rattachaient), et ceux de Ronchamp, mieux vus car sans doute plus dociles. Une rivalité surtout sur le terrain de foot, d'ailleurs.